dimanche 14 avril 2013

RICARDO MOSNER illustre SON texte : LES TROIS COUPS DE CHAPEAU pour les Éditions LUIS CASINADA

RICARDO MOSNER
Les Trois Coups de Chapeau
RICARDO MOSNER
Editions Luis Casinada
Montpellier, 2013

11 ème volume de la collection Parce que ! 



Peinture originale de Ricardo Mosner pour Les Trois Coups de Chapeau aux Editions Luis Casinada
Ricardo Mosner : Les Trois Coups de Chapeau aux Editions Luis Casinada



Présenter Ricardo MOSNER, comment faire? Un tas d'angles possibles. 
 — Renvoyer à Wikipedia
"Ricardo Mosner, né à Buenos Aires (Argentine), est un peintre, sculpteur et graveur argentin, également écrivain et homme de radio, qui vit et travaille à Paris.
Dès la fin des années 1960, Ricardo Mosner expose et organise performances et happenings.
Entre 1970 et 1980, il crée et joue une vingtaine de spectacles picturaux avec sa troupe le Teatr’en Poudre. Il a travaillé en tant qu'acteur avec Copi, Jérôme Savary, Stephen Frears notamment. Durant les années 1980, il dessine les pochettes des disques des groupes successifs de Theo Hakola (Orchestre rouge et Passion Fodder).
En 1985, il remporte le concours pour remplacer la peinture originale de l’un des piliers du restaurant La Coupole, endommagée par une infiltration d’eau, à l'issue du vote des clients.
Pour la Mission 2000 il réalise les affiches, chars, masques et costumes de « La Carnavalcade » de Saint-Denis. En 2012 il conçoit l’affiche, décor et costumes pour le spectacle « Ubu au Café de la Gare » de Patrice Minet d’après l’oeuvre d’Alfred Jarry.
Pour la radio, Mosner a écrit et joué des feuilletons (Radio Nova et France Culture). Il est, avec Gérard Mordillat, Henri Cueco, Jacques Jouet, Hervé Le Tellier, Lucas Fournier et nombre d’autres, l'un des « papous » de l’émission de France-Culture Des Papous dans la tête, fondée par Bertrand Jérôme et animée par Françoise Treussard. L’Anthologie et Le Dictionnaire de cette émission ont été publiés aux Editions Gallimard avec des textes, dessins et couvertures de Mosner.
Il a participé à de nombreuses expositions collectives dont «  L'Amérique latine au Grand Palais  » et les «  Ateliers de l'ARC  » au Musée d'art moderne de la ville de Paris en 1984, la Biennale de Paris et les «  Murs peints  » du Centre Georges-Pompidou en 1985, la Triennale des Amériques en 1993, la Biennale de sculpture aux Pays-Bas en 1994, etc. et a présenté 140 expositions personnelles en France et à l’étranger.
Il exerce également son art dans le domaine de l'affiche et de l'édition.
Il organise les expositions du groupe « El Colectivo » et il est le directeur artistique de la revue littéraire Tango."

 — Renvoyer à tous les livres qu'il a fait ou qui lui sont consacrés. 

—  Raconter que, depuis le début des années '80, j'aime Ricardo MOSNER. Que depuis 1986 (27 ans) une litho de lui s'accroche constamment à mes murs qui eux changent au fil des déménagements.
Un jour ma fille m'a téléphoné de l'atelier de Mosner avec qui elle travaillait un projet. Plus tard, Sébastien Hervouet est venu relancer l'édition. Alors, le nom de Mosner a été une évidence.
Et quand, dans mon bureau de la Société archéologique,  il m'a téléphoné son : OUI de principe, j'ai failli tomber dans les carreaux de faïence.
L'entrevue : l'homme est aussi chaleureux que l'artiste, et c'est pas peu dire.
Il fut décidé que nous éditerions un texte de lui : Les Trois Coups de Chapeau (je respecte les majuscules de l'auteur).
Il s'agit  — du récit d'une pièce.

Il y a, dans un désordre volontaire et des légendes  minable (mon désordre et mes légendes parce que seule l'écriture de Mosner serait la bonne, mais je vais pas copier la pièce...) :


Une pièce de théâtre

Des acteurs et des spectateurs
Une actrice et sa culotte

Un masque de cheval (c'est l'esprit de la pièce)
Un squelette de pièce
Une danse macabre

Une critique manchote
Un auteur triste
Un auteur fatigué
Un homme XL
Une actrice









Public, grand ou pas
Un bruit et un os qui se croisent
Une actrice (2)


Hihihi. Si avec ça vous vous y retrouvez...
Bref, nous avons là un texte expérimental ET drôle divisé en 14 séquences dont chacune est illustrée par une peinture de l'auteur.

POUR LA COUVERTURE, Ricardo Mosner a peint 20 variations sur le thème de la danseuse et des trois coups de chapeau. 20 couvertures différentes, une peinture originale signée pour chaque exemplaire.

Exemple :




Ce qui donne une image qui n'existera plus jamais, les exemplaires se séparant inexorablement de nous :
CHAPEAU, L'ARTISTE !!!  


Rappel :

Tous les livres de la collection PARCE QUE! se présentent sous un format 17 x 17 cm (pour les amateurs, celui des 45 tours vinyl). 
Un coffret en aluminium et plexiglas cristal permet deux "utilisations". On peut, au choix, s'en servir comme d'un livre, les lire, les feuilleter, les ranger sur les étagères d'une bibliothèque. Ou bien, les afficher au mur comme un tableau
En effet, la couverture est occupée à chaque fois par une illustration pleine page ne portant ni lettrage, ni marque de reliure.

Le tirage se fait sur papier Japon Awagami Hosho.
La reliure est du type 'à la chinoise', chaque feuillet étant doublé par un pliage sur lui-même, les fils de reliure sont masqués par les pages de titre et de frontispice.
Le tirage est de 20 exemplaires, ce qui, ôtés les exemplaires d'auteur et d'éditeur, correspond à 10 EXEMPLAIRES DISPONIBLES .
Tous les exemplaires sont, bien sûr, numérotés et signés. 

mardi 9 avril 2013

Marc NA illustre une séance du CONSERVATOIRE DES ARTS ET METIERS rapportée par Henry de la Madelène.


C'EST UN SCANDALE !!!

MARC  NA avait si gentiment accepté d'illustrer un de nos livres.

Normalement, le titre de ce post aurait dû être :  
Marc NA illustre la soirée du 29 octobre 1864 au Conservatoire des Arts et Métiers pour les Editions Luis Casinada

MARC  NA
Il y a eu samedi, 29 octobre
HENRY DE LA MADELÈNE
Editions Luis Casinada
Montpellier, 2013

7ème volume de la collection Parce que ! 

LIVRE DE MARC NA  AUX EDITIONS LUIS CASINADA


LIVRE DE MARC NA  AUX EDITIONS LUIS CASINADA


Eh bien, il faut changer ce titre !
C'EST UN SCANDALE !!

C'était un honneur pour nous, ce Marc NA ! Ce professeur certifié d'art plastique qui a abandonné l'enseignement pour agiter ensemble les arts plastiques, le théâtre, la littérature, la musique nous avait préparé 5 dessins
On se souvenait de ses expositions personnelles. Il y avait chaque fois les deux faces de Janus. D'un côté, des oeuvres qui tannaient la peau de la consommation (des emballages de produits divers traités comme des touches picturales), de l'autre des corps (humains, très humains) en gros et en détail (parfois des pieds, des cervelles...) que leur clacissisme rendait très instables. C'est une performance.
Peintures de Marc Na
Marc NA

Marc NA
Le tout ensemble, un, distinct et indivisible. 
Et il gribouillait encore les pistes par ses collaborations incessantes
L'âne LOUIS-LOUIS (avec Isabelle Marsala, Jean-François Raynal et Guy Walter) avait  donné une autre perspective au Peyrou de Montpellier. 
Ses icônes de la Sainte Conso, encore avec Isabelle Marsala sont à voir sur le site de celle-ci.
Ses interventions dans les grandes représentations de La Friche à Mimi, à Montpellier sont inoubliables. (Et pour ne pas les oublier, on va sur : http://paisdeorishas.blogspot.fr/  qui en présente quelques traces).
Et qui n'a pas vu/entendu Gil NON chanter des textes de Marc NA n'a rien vu.

Bref, ce petit homme est une grande pointure.

Il vient renforcer les troupes de l'ART CONCEPTUEL dans les Éditions Luis Casinada . 

Eh bien voilà!  Tout est gribouillé...

Nous avions repéré un texte paru dans LA REVUE DE PARIS du 13 novembre 1864 rendant compte d'une "fort belle soirée scientifique au Conservatoire des Arts et Métiers" . 
Le texte, non signé, semble pouvoir être attribué à HENRY DE LA MADELÈNE
Ce publiciste, dont le frère Jules est aussi un écrivain méritoire est né par accident à Toulouse en 1825. Son frère Jules est aussi un écrivain méritoire. Son père est créé baron par Charles X en 1825. Ce brevet n'est que la confirmation de la noblesse de cette famille du Comtat Venaissin. Il sera maire de Carpentras sous la Monarchie de Juillet, de 1842 à 1848. Il semble que la famille se rallie sans difficulté à l'Empire en 1852.
Et c'est bien l'esprit de ce 3e Empire que reflète le comte rendu de la Revue de Paris : confiance absolue au progrès scientifique et industriel, et, dans le même mouvement, éclatement des codes esthétiques. On est fou comme Offenbach, sérieux comme Monet,entreprenant comme de Lesseps.

Il ne me reste plus qu'à vous montrer l'étendue des dégats. 
Comme  Cy Twombly, comme Marcel Duchamp, Marc NA a été victime d'un gribouilleur. Est-ce un enfant ? Est-ce un génie? Ce sont des feutres et des couleurs qui modifient chaque exemplaire de nos livres. 
A vous de voir.
Voici les dessins et même les pages de texte avant et après... 

Dessin original de Marc NA
Un des 20 avatars du dessin retouché.

Et suivant le fil du texte :

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Ensuite on pouvait contempler un atelier d'une quinzaine d'assez jolies couturières enfermées jusqu'au menton dans des fourreaux verts et faisant tictaquer des machines à coudre.
Un monsieur chauve, mais bâti en Hercule et ressemblant à M. Sauvestre, racontait avec extase à qui voulait l'entendre, combien il les avait moralisées, et combien les fourreaux verts et la pédale de la machine à coudre étaient nécessaires au bonheur des jolies filles.
Dessin de Marc NA avant intervention

Après
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Plus loin on allait causer avec un autre monsieur qui montrait au public l'art de fabriquer des chapeaux pointus! Puis l'on suivait une file de machines fort barbares destinées à faire peu de besogne, et on se trouvait libre d'entrer dans la grande nef transformée en mare à canards où quelques vieilles dames savantes en toilette ébouriffante venaient tremper, en compagnie de petits jeunes gens à l'âme sérieuse, leurs ailes de cygne.
Cet endroit était en effet plus sérieux que les autres; on y était aspergé assez raisonnablement, et ce qu'il y avait de moins compréhensible, c'était la présence de nombreux pompiers dans une salle remplie d'eau !
Un membre de l'Institut, marin évidemment, perché au haut d'une échelle longue de quarante pieds, exécutait toutes sortes de tours de force pour rapprocher les charbons des appareils électriques qui éclairaient un public mélancolique.


VOYONS LARGE !!!

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Diverses luttes entre les démonstrateurs, qui ont fini par détraquer leurs appareils, ont surpris les assistants. La conquête d'une lanterne magique, telle a paru être la donnée de la pièce, avec illuminations phosphoriques. Ce qui a parachevé la consternation de l'assemblée a été le tableau de l'aurore boréale. On s'attendait à un décor de Philastre avec un bel effet de lueurs d'Opéra ou des Funambules, et le décor s'est borné à une sorte de petite allumette chimique violette qu'on faisait tourner dans un bocal.
On a montré aussi une série de traits calligraphiques lumineux représentant l'accord ou le désaccord des diapasons en vibration, mais en réalité dans la pantomime c'était le ballet, car sur un tableau noir dansaient une foule de huit entortillés. Quelques personnes ont bien compris du reste cette pièce, quoique le traître eût oublié presque tout son rôle, et derrière nous une des vieilles dames savantes venues là avec des jeunes gens, pour s'élever l'âme à l'aide de machines hydrauliques, a murmuré tendrement à la vue des huit lumineux qui dansaient sur le tableau noir: « Oh! comme cela explique bien les sympathies! »



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Au fond, dans une nef en ruines s'élançait un petit jet d'eau sur lequel un invalide somnolent braquait une lumière électrique, grâce à quoi l'on voyait un petit arc-en-ciel dans le jet d'eau. Ce résultat n'exige guère qu'un espace de cinquante mètres carrés! Le petit arc-en-ciel soumis à la volonté d'un invalide a excité un désappointement universel.
On circulait dans un grand nombre de couloirs, d'escaliers et de salles où reposaient d'anciennes machines à coudre, qu'aucune couturière en fourreau vert moralisateur ne faisait marcher; aussi peu de gens s'égaraient dans ces cimetières.


PAS MAL,  LE DESSIN !!

ET FINALEMENT, C'EST  SUPERBE !!!


MÊME SI ÇA DÉBORDE !!!
TOUT SE DÉTRAQUE

DE LA BOUCHE AU TROU DU CUL...


LE TEXTE LUI MÊME  EST CONTAMINÉ


Gageons qu'il y aura encore des fous pour vouloir un de ces livres !
En fait, il n'y en a que 20, et seulement 10 qui seront vendus !

C'est un moindre mal !!
VIVE LES CAMERAS DE SURVEILLANCE !!

GRACE A ELLES, LE FEROCE BARBOUILLEUR A PU ÊTRE IDENTIFIÉ :





Les preuves de la préméditation : rien n'est laissé au hasard pour les gribouilleurs


Rappel : 


Tous les livres de la collection PARCE QUE! se présentent sous un format 17 x 17 cm (pour les amateurs, celui des 45 tours vinyl). 
Un coffret en aluminium et plexiglas cristal permet deux "utilisations". On peut, au choix, s'en servir comme d'un livre, les lire, les feuilleter, les ranger sur les étagères d'une bibliothèque. Ou bien, les afficher au mur comme un tableau
En effet, la couverture est occupée à chaque fois par une illustration pleine page ne portant ni lettrage, ni marque de reliure.

Le tirage se fait sur papier Japon Awagami Hosho.
La reliure est du type 'à la chinoise', chaque feuillet étant doublé par un pliage sur lui-même, les fils de reliure sont masqués par les pages de titre et de frontispice.
Le tirage est de 20 exemplaires, ce qui, ôtés les exemplaires d'auteur et d'éditeur, correspond à 10 EXEMPLAIRES DISPONIBLES.
Tous les exemplaires sont, bien sûr, numérotés et signés. 
Adresse : barral.guy@neuf.fr



lundi 8 avril 2013

Denis LEENHARDT illustre Épines blanches, épines roses de Marcel PROUST


DENIS LEENHARDT
Épines blanches, épines roses
Marcel  PROUST
Editions Luis Casinada
Montpellier, 2013

8 ème volume de la collection Parce que ! 

DENIS LEENHARDT illustre MARCEL PROUST  pour Luis Casinada

DENIS LEENHARDT illustre MARCEL PROUST  pour Luis Casinada

Dire que Denis LEENHARDT est un dessinateur méticuleux, c'est s'exposer à "C'est un peu court, jeune homme"... Il est précis, obstiné, patient...
Il dessine comme Claude Mellan burinait ses gravures dans ses ateliers du Louvre où grandissait Louis XIV. Tant de traits, tant de lignes, qu'il pourrait bien, à la fin, n'y en avoir qu'une, fluide comme une phrase proustienne.
Ces PAYSpasSAGES sont denses comme le monde, ramifiés comme la vie, et courent à l'unité comme une Idée.
Densité et légèreté, dansent les faunes et les nymphes, presque cachés par tant de feuilles. Mais on les voit à travers le dessin, on les entend le soir au fond des bois...

On voit du Denis LEENHARDT sur son site :
http://denis.leenhardt.free.fr/  
et sur celui de La Cabane trempée, cette institution qu'il décrit ainsi :
"La Cabane Trempée", comme son nom ne l'indique pas, est une association d'artistes, ou un groupe d'amis artistes, qui organise ( Au mois de MAI, et ceci depuis 1994 ) des expositions d'art contemporain,
dans une ancienne cabane de pêcheur ,au bord de l'étang de l'Or, aux cabanes du Salaison, à Mauguio (Hérault )........ Près de Montpellier. 

Photos du site et de l'artiste tiré de : 
 http://www.lacabanetrempee.com/index.html


Et on n'oublie pas les 83 dessins publiés en mai 2011 aux Editions Le Chant des Muses à Béziers.

La Cabane trempée

Denis LEENHARDT  dans La Cabane trempée devant ses oeuvres



Le 21 mars 1912, Au seuil du printemps, Marcel Proust publie dans Le Figaro une ébauche qui prendra toute son envergure dès le premier volume de La Recherche : les aubépines de son enfance...
Au seuil du printemps, Épines blanches, épines roses. 
Texte magnifique, déjà, emberlificoté et limpide. Piquant sous le satin des pétales.








Denis LEENHARDT a dessiné 5 feuilles pour illustrer ce texte. Pleins et sans marge.
Puis les a colorisés à l'aquarelle.
Non sans émotions comme l'indique ce mail du 11 mars :
Bonsoir Guy et Sébastien,
Désolé pour le retard, mais voyez-vous, je rencontre de sérieuses difficultés avec le papier Japonais.
Celui ci est si vorace en humidité,  qu'il absorbe toutes mes couleurs, digère tout !... Le lendemain, c'est comme si je n'avais rien fait. Mes dessins restent toujours noirs et blancs.  Mais bon.  J'espère solutionner le problème d'ici bientôt.
A bientôt, donc, pour la livraison.
Amitiés de
Denis Leenhardt.


Ça fait froid dans le dos, ces couleurs qui, la nuit, s'esquivent des dessins. Sortilège, magie, destin? Finalement Denis a réussi à fondre des couleurs dans ses paysages.
Denis LEENHARDT illustre PROUST




Il y a aussi des poétes, des nymphes, des satires et des Ophélies...
Par la blancheur des aubépines remontent, par capillarité, tous les mythes du monde...

Denis LEENHARDT illustre PROUST










Les trois fleurs, en bas à droite, ont été rajoutées à la dernière minute :
Denis LEENHARDT illustre PROUST




Ah les amoureux, combien de démons dans les replis menaçants de la phrase proustienne ! 
Denis LEENHARDT illustre PROUST



Denis LEENHARDT illustre PROUST

Albertine se cache dans le paysage. Sauras-tu la retrouver?

Denis LEENHARDT illustre PROUST


Denis LEENHARDT illustre PROUST
Ah ! un conseil : apprenez à écrire  L E E N H A R D T . Ça vous servira un jour.





Rappel : 


Tous les livres de la collection PARCE QUE! se présentent sous un format 17 x 17 cm (pour les amateurs, celui des 45 tours vinyl). 
Un coffret en aluminium et plexiglas cristal permet deux "utilisations". On peut, au choix, s'en servir comme d'un livre, les lire, les feuilleter, les ranger sur les étagères d'une bibliothèque. Ou bien, les afficher au mur comme un tableau
En effet, la couverture est occupée à chaque fois par une illustration pleine page ne portant ni lettrage, ni marque de reliure.

Le tirage se fait sur papier Japon Awagami Hosho.
La reliure est du type 'à la chinoise', chaque feuillet étant doublé par un pliage sur lui-même, les fils de reliure sont masqués par les pages de titre et de frontispice.
Le tirage est de 20 exemplaires, ce qui, ôtés les exemplaires d'auteur et d'éditeur, correspond à 10 EXEMPLAIRES DISPONIBLES .
Tous les exemplaires sont, bien sûr, numérotés et signés. 
Adresse : barral.guy@neuf.fr